Avec des taux d'emprunt bancaire historiquement bas, la période est propice à ceux qui souhaitent acheter un bien immobilier ou renégocier leur prêt immobilier actuel. L'acheteur peut en effet augmenter son enveloppe de financement et atteindre certains biens jusque là non envisageable.
À Mâcon, l'agence meilleurtaux.com, installée rue Victor Hugo, vous aide à trouver les meilleures conditions de financement pour votre projet immobilier. Comment ? Nicolas Badet, directeur de l'agence, nous l'explique…
Mâcon Tendance : Comment présenteriez vous votre métier ?
Nicolas Badet : Meilleurtaux est un intermédiaire entre les clients et les banques, notre rôle est de faire gagner du temps, économiser de l’argent et apporter un conseil de qualité tout au long du projet immobilier.
M. T. : De quelle manière faites vous gagner du temps aux acquéreurs ?
N. B. : En un dépôt de dossier chez nous, le client a fait le tour des banques. Grâce à nos partenariats avec toutes les banques, tous les débuts de mois, les banquiers nous envoient leur grille de taux. Nous pouvons ainsi voir directement la banque la plus compétitive le mois en cours. Si le client fait seul les démarches de son côté, il voit trois banques maximum pour sa recherche de prêt et prend la meilleure solution dans ces dernières... Il n’aura pas fait la quatrième, la cinquième ou la sixième banque qui était peut-être la bonne. Nous choisissons aussi la banque en fonction du profil client, il y a une vraie personnalisation du dossier.
Enfin, on évite également une erreur que font beaucoup de clients : Ces derniers font le tour des banques au mois de janvier, leur projet se finalise au mois de juin et ils retournent voir la meilleure banque du mois de janvier… Or entre temps la meilleure banque du mois de janvier ne sera plus la meilleure au mois de juin. Par contrainte et manque de temps, le client n’aura pas refait le tour des banques. Notre métier est de leur indiquer la meilleure banque à l’instant T.
M. T. : Comment faites vous pour proposer des taux imbattables ?
N. B. : Nous sommes l’un des plus gros courtier en France avec 170 agences sur le territoire. Grâce au volume de dossiers que nous générons, nous avons des taux préférentiels avec les banques, c’est en quelque sorte de « l’achat en gros de taux ».
Par ailleurs, les clients pensent qu’ils doivent obligatoirement prendre une assurance dans la banque où ils souscrivent leur prêt. De notre côté, nous sommes aussi en partenariat avec les assureurs… Nous pouvons leur faire gagner beaucoup d’argent sur ce point. On cherche la meilleure assurance en terme de garantie prix.
M. T. Qu'entendez-vous par l'aspect conseil ?
N. B. : Les gens viennent chez nous pour avoir le taux le plus bas, mais nous sommes là aussi pour les accompagner tout au long de leur projet immobilier en amont et en aval. En amont : combien je peux emprunter ? Quelles seraient mes mensualités sur le bien que j’ai vu ? En aval : pour la recherche des meilleures conditions, la relecture du contrat de prêt et l’accompagnement chez le notaire.
Notre idée est d’être très réactif et très disponible. Quand les gens ont un projet immobilier, ils veulent une réponse rapide. Elodie, notre assistante appelle tous les clients après la signature chez le notaire pour savoir si tout s’est bien passé. Les conseillers relisent toutes les offres de prêt de nos clients pour vérifier que tout correspond bien aux conditions qui avaient été négocié... la moindre erreur peut avoir des conséquences importantes.
M. T. : Quelle est la contrepartie financière de vos services ?
N. B. : Nos frais se substituent aux frais de dossiers bancaires. Comme c’est nous qui faisons tout le dossier, les clients n’ont pas de frais bancaires. Cela est donc une opération financière transparente pour les clients, alors qu’ils ont bénéficié du gain de temps, des meilleures conditions et du conseil de Meilleurtaux Mâcon. Il se peut que certaines banques prennent quelques frais de dossier, mais cela va dans l’intérêt du client… Cela veut dire que nous avons négocié fortement le taux et les assurances. Dans ce cas là, il vaut mieux les payer.